Samedi 28 septembre


L'OccitanienneL’occitanienne

Réalisé par Jean Périssé
Avec Bernard Le Coq, Valentine Teisseire, Roger Souza, Patricia Karim, Philippe Vendan-Borin

Durée : 1h30. – Genre : Drame, Historique

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Une nuit de violent orage, l’action se déroule à Cauterets en 1829, à la haute époque du pyrénéisme naissant où la montagne fait peur. Il s’agit d’un huis-clos à trois personnages : l’écrivain René de Chateaubriand vieillissant mais toujours amoureux de l’amour, la jeune Léontine de Villeneuve, de 40 ans sa cadette, enflammée de passion pour le grand homme ; et un maître d’hôtel poète dans l’âme, qui, pour la circonstance, se fera, malgré lui, veilleur de nuit et témoin voyeur bienveillant.Inspiré d’un chapitre des Mémoires d’outre-tombe, le sujet qui a suscité en son temps une grande curiosité littéraire et biographique reprend l’histoire vraie du dernier amour de Chateaubriand avec une jeune femme de l’aristocratie toulousaine, qui apparaît dans ses écrits sous le nom d’Occitanienne.

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Rencontre avec :

Bernard Le Coq

Star du feuilleton télévisé «Une famille formidable» dans lequel il campe le patriarche Jacques Beaumont depuis 1992, La star commence sa carrière d’acteur en 1967. «Les Feux de la Chandeleur» (1972) est son premier grand rôle au cinéma. Depuis Bernard Le Coq a joué dans plus de soixante films et a tourné avec les plus grands réalisateurs. Nominé trois fois pour un second rôle aux Césars dans «Van Gogh» de Maurice Pialat (1991) et «La Conquête» de Xavier Durringer (2011), Bernard Le Coq a remporté la fameuse statuette en 2003 pour «Se souvenir des belles choses» de Zabou Breitman.

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Jean Périssé

Il est l’auteur de nombreux courts-métrages et scénarios fiction. Grâce au coup de coeur du comédien Bernard Le Coq, il arrive à monter son premier film de long métrage de fiction : L’Occitanienne, le Dernier Amour de Chateaubriand (Clairsud productions), tourné en 2005 et distribué en 2008. Après le film documentaire de cinéma La Fabuleuse histoire de Monsieur Riquet, il prépare un film de fiction sur un pan de vie de ce personnage romanesque et méconnu du XVIIe siècle, qui sera à nouveau interprété par l’ami complice Bernard Le Coq.

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Rencontre

-Gratuit- ouverte au public des films “Qui m’aime me suive” et/ou “L’occitanienne”.
Suivi d’un buffet et d’une dégustation du vin Domaine le Fort.

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Karim Ghiyati

Directeur de Languedoc-Roussillon Cinéma / Occitanie films depuis novembre 2010 après avoir été directeur artistique de la Cinémathèque de Corse de 2002 à 2009 et avoir enseigné l’histoire du cinéma aux universités Paris 1 et Paris 3 de 1996 à 2002. Animé par le désir de transmettre une passion, celle du cinéma, de son histoire, de son actualité et de sa fabrication, ceci de manière incarnée.

Il animera la rencontre entre Bernard Le Coq et José Alcala.

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Bernard Le Coq

Star du feuilleton télévisé «Une famille formidable» dans lequel il campe le patriarche Jacques Beaumont depuis 1992, La star commence sa carrière d’acteur en 1967. «Les Feux de la Chandeleur» (1972) est son premier grand rôle au cinéma. Depuis Bernard Le Coq a joué dans plus de soixante films et a tourné avec les plus grands réalisateurs. Nominé trois fois pour un second rôle aux Césars dans «Van Gogh» de Maurice Pialat (1991) et «La Conquête» de Xavier Durringer (2011), Bernard Le Coq a remporté la fameuse statuette en 2003 pour «Se souvenir des belles choses» de Zabou Breitman.

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José Alcala

Le réalisateur José Alcala originaire de la région et qui partage sa vie entre Saint-Jean de Fos (Hérault) et Paris, a réalisé deux documentaires (Les molex, des hommes debout, Encore debout!), et trois long-métrages de fiction : Alex, Coup d’éclat, Qui m’aime me suive !

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Qui m'Aime Me Suive!Qui m’aime me suive

Réalisé par José Alcala
Avec Daniel Auteuil, Catherine Frot, Bernard Le Coq, Solam Dejean-Lacréole, Vanessa Paric

Durée : 1h30. – Genre : Comédie

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Gilbert et Simone vivent une retraite agitée dans un village du Sud de la France. Le départ d’Étienne, son voisin et amant, le manque d’argent, mais surtout l’aigreur permanente de son mari, poussent Simone à fuir le foyer. Gilbert prend alors conscience qu’il est prêt à tout pour retrouver sa femme, son amour.

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Rencontre avec :

Bernard Le Coq

Star du feuilleton télévisé «Une famille formidable» dans lequel il campe le patriarche Jacques Beaumont depuis 1992, La star commence sa carrière d’acteur en 1967. «Les Feux de la Chandeleur» (1972) est son premier grand rôle au cinéma. Depuis Bernard Le Coq a joué dans plus de soixante films et a tourné avec les plus grands réalisateurs. Nominé trois fois pour un second rôle aux Césars dans «Van Gogh» de Maurice Pialat (1991) et «La Conquête» de Xavier Durringer (2011), Bernard Le Coq a remporté la fameuse statuette en 2003 pour «Se souvenir des belles choses» de Zabou Breitman.

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José Alcala

Le réalisateur José Alcala originaire de la région et qui partage sa vie entre Saint-Jean de Fos (Hérault) et Paris, a réalisé deux documentaires (Les molex, des hommes debout, Encore debout!), et trois long-métrages de fiction : Alex, Coup d’éclat, Qui m’aime me suive !

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Le voyage du prince

Réalisé par Xavier Picard, Jean-François Laguionie

Genre : Animation

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Un vieux prince échoue sur un rivage inconnu. Blessé et perdu, il est retrouvé par le jeune Tom et recueilli par ses parents, deux chercheurs contraints à l’exil… Le prince, guidé par Tom, découvre avec enthousiasme et fascination une société pourtant figée et sclérosée.

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Avant-première ! séance suivi d’un goûter.

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Conférence “Filmer le sport”

Comme l’a dit Jean-Luc Godard : Le cinéma ment, pas le sport !
Le temps du festival Cinéma d’automne nous permettra de questionner la place du sport au cinéma. Importante question car c’est sous la forme d’images et de sons que la compétition internationale déferle régulièrement sur nos écrans de toutes dimensions. Le sport filmé, ce n’est pas qu’à la télévision, loin s’en faut : nés au même moment, le cinématographe, art d’écrire le mouvement, et le sport moderne, « divertissement, plaisir physique ou de l’esprit » dans son étymologie, dialoguent depuis plus d’un siècle, s’interpénètrent et s’éclairent mutuellement. Le cinéma est né de la volonté de reproduire le mouvement et de saisir toute l’émotion qui pouvait s’en dégager, en témoignent les travaux de ses précurseurs que sont les chronophotographes. L’un d’eux, Marey, aurait télégra-phié à une danseuse : « En vous mouvant, vous m’émouvez. » Cinématographiquement, quoi de plus (é)mouvant qu’un spor-tif en pleine action ? En choisissant de filmer le sport et les sportifs, le cinéma est allé à la rencontre d’une source intarissable de beautés cinégéniques .
Qu’est-ce que le cinéma fait du sport, en terme de spectacle, de dramaturgie, d’identification du spectateur ? Qu’est-ce qu’en retour, le cinéma fait au sport, pour ce qui est de sa mise en scène, notamment ? Voilà quelques unes des questions que nous tâcherons d’aborder avec Béatrice de Pastre—directrice des Archives françaises du film du Centre National de la Cinématographie—en lien avec la diffusion exceptionnelle du film « La grande passion » de André Hugon, film hymne au sport et particulièrement au rugby tour-né en région Occitanie en 1928 et numérisé par les Archives du film pour cette occasion.

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Entrée libre, à la médiathèque de Castelnaudary